ODE VII
Fanny, l'heureux mortel qui près de toi respire
Sait, â te voir parler et rougir et sourire,
De quels hôtes divins le ciel est habité.
La grâce, h candeur, la naïve innocence
Ont, depuis ton enfance,
De tout ce qui peut plaire enrichi ta beauté.
Sur tes traits, ou ton ame imprime sa noblesse,
Elles ont su mêler aux roses de jeunesse