F° 48 147/89. 1834-36?
Ta vie est sombre, hélas! ta 'joie est éphémère,
L'ombre est sur tes chemins... -
Fils, ne reproche rien à ton père, à ta mère.
Prie et baise leurs mains.
Oui, le noeud de la vie est un fatal lien,
La joie est éphémère,
Exister, c'est souffrir... - fils, ne reproche rien
A ton père, à ta mère!
Ouvre le livre saint que Dieu même inspira,
. Et lis ces mots funèbres :
Qui maudit ses parents, sa lampe s'étèindra
Au milieu des ténèbres.