F. 151 1838-40. Océan, p. 398.
Pauvre oiseau nu! Sa voix douce
Charme Dieu qui le bénit.
Dieu le couve dans sa mousse,
Et sa petite aile pousse,
Pendant qu'il dort dans son nid.
N'a-t-il pas la providence
Ce grand oeil ouvert sur tout?
Le trône et l'échafaud ont le même squelette.
Oh! si l'esprit pouvait lire
Dans les soupirs d'un cyprès,.
Si la mort pouvait sourire,
Si la tombe pouvait dire,
N'est-ce pas que tu dirais :
1826-1851.- 961