XVII
Ou bien, frottant sa patte à sa moustache raide,
Lustre son poil soyeux comme l' hermine, à l' aide
De sa langue âpre et dure, et frileux, pour dormir
Entre les deux chenets, près des tisons, en boule,
La tête sous la queue artistement se roule.
-la bise cependant continue à gémir,
L' orfraie aux sifflements rauques de la tempête
Mêle ses cris ; le toit craque, la bûche pète,
La flamme tourbillonne, et dans un grand chaudron,
Sous des flocons d' écume, une eau puante et noire
Danse en accompagnant de son bruit la bouilloire
Et le matou qui fait ron ron.